L’autre jour, on me demande des nouvelles de l’eclau. Parce que, c’est vrai, je ne communique pas des masses à ce sujet! Le blog a un rythme de publication très… intermittent: dernier article il y a quelques semaines, sur comment se lancer dans sa vie d’indépendant, et avant-dernier en mai, sur la question de la rentabilisation de l’espace pour un espace coworking.
Et dans ce dernier article, un indice pour ce silence: en effet, l’eclau n’est pas mon gagne-pain. Je gagne ma vie autrement. Mon but pour l’eclau, c’est qu’il fasse bon y travailler, tant côté productivité qu’ambiance, et que financièrement, je ne doive pas y injecter d’argent. (C’est arrivé que je doive le faire une ou deux fois mais c’est rare!)
Donc, tout va bien. L’eclau roule. Ouvert en 2008, on est en 2015, plusieurs coworkers y sont depuis des années, voire pas mal d’années. Et mon degré d’activité dépend beaucoup de la nécessité pour l’eclau d’être visible afin d’attirer de nouveaux membres. En ce moment, il y a un peu de place, quelques personnes étant parties vers d’autres horizons dans le courant de la dernière année. Je fais régulièrement visiter les lieux à des personnes intéressées. Comme je disais, ça roule. Ce serait bien d’avoir 1-3 membres (indépendants) de plus, mais ce n’est pas critique.
Alors mon « énergie coworking », cette année, elle a été dépensée plutôt dans les contacts avec les autres gérants d’espaces coworking de la région. Je suis peut-être un peu flemme, mais c’est vrai que comme « tout va bien », j’ai un peu levé le pied sur la communication externe au sujet de l’eclau. Il est peut-être temps de faire un petit effort!
D’où cet article 🙂